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Il a été déjà précisé que le lexique se définit d'habitude par rapport à la grammaire, comme domaine ouvert face à un système fermé La liste des éléments composant le lexique est théoriquement illimitée, tandis que la grammaire est constituée d'un ensemble de systèmes limités, à l'intérieur desquels les termes en opposition sont peu nombreux. Le caractère ouvert du domaine lexical se justifie par cela qu'il peut s'enrichir constamment pour répondre d'une manière adéquate aux nouveaux besoins. Au contraire, un système grammatical a un caractère fermé : la pénétration de nouveaux éléments se fait avec beaucoup de difficulté et affecte l'entière organisation du système.
Si l'essentiel de la signification se retrouve dans les unités lexicales, les catégories grammaticales ne sont pas pour autant dépourvues de sens.
Cette observation a conduit les linguistes à la constatation que « le sens linguistique total d'un énoncé résulte du sens lexical de ses constituants et des sens grammaticaux des catégories et relations qui sous-tendent cet énoncé »
Pour ce qui est du sens lexical des unités composantes d'un énoncé, nous avons déjà vu que celui-ci s'organise de deux manières différentes : du point de vue collocationnel, associatif, paradigmatique, une unité est choisie en fonction de toutes les unités de même nature du microsystème lexical (paradigme), par un processus mental déployé 'en l'absence' de ces unités; du point de vue cooccurrentiel , syntagmatique, au niveau de l'énoncé, chaque unité, pour être choisie d'une manière adéquate, doit répondre à des exigences d'affinités sémantiques avec les éléments voisins.
Autrement dit, le sujet parlant doit opérer un double choix sémantique et pouvoir répondre à une double série de questions :
- Est-ce l'unité choisie la meilleure entre toutes les possibilités d'expression que fournit l'ensemble lexical présent dans sa mémoire ?
- Y a-t-il d'adéquation sémantique entre telle unité et telle autre présente dans l'énoncé ?
L'échec dans l'adéquation sémantique d'un énoncé est produit à la fois par le manque d'habileté collocationnelle et l'inadéquation cooccurrentielle.
Mais il n'en est pas moins vrai que la grammaire, exclue jusqu'ici des considérations d'adéquation, y est pour beaucoup. Prenons un exemple :
*Jean s'égara longtemps parmi les immeubles du nouveau quartier.
L'inadéquation de cet énoncé tient à deux ordres de faits : a) tout d'abord, un choix associatif défectueux (série : s'égarer, errer); b) l'incompatibilité sémique entre le trait [+ momentané] du verbe s'égarer et le trait [+ duratif] de l'adverbe longtemps.
D'autre part, il faut admettre qu'entre des énoncés comme :
Jean erra longtemps parmi les immeubles du nouveau quartier.
et
Jean avait longtemps erré parmi les immeubles du nouveau quartier.
il y a une sensible différence de sens. Cette fois-ci, la différence est purement grammaticale et s'explique par l'emploi de deux formes temporelles ayant des valeurs temporelles et aspectuelles propres.
Par conséquent, dans la bonne formation des énoncés il n'y a pas que le sens lexical qui compte. Les combinaisons syntaxiques y sont pour beaucoup. Le sens grammatical recouvre des distinctions importantes comme : valeur d'un suffixe, valeur d'un préfixe, oppositions de temps et de mode, de nombre et de personne, opposition entre le défini et l'indéfini, différences entre assertions, questions et ordres, des fonctions syntaxiques comme : sujet d'une phrase, objet d'une phrase, circonstant d'une phrase, modifieur d'un nom, d'un verbe ou d'un adjectif, dérivé syntaxique, etc.
Le sens d'une phrase comme :
Jean erra longtemps parmi les immeubles du nouveau quartier.
devra s'interpréter comme résultant des sens lexicaux de chacun de ses constituants morphématiques (exemple : Jean = 'être humain', 'connu' (qui s'appelle Jean) et erra = 'action de marcher sans but visible', 'faite par une personne', etc. , mais aussi Jean = 'sujet de', erra = 'action', longtemps = 'circonstant temporel' [ + duratif ], parmi les immeubles du nouveau quartier = 'circonstant locatif', etc., ce qui fait que notre phrase apparaisse comme un syntagmatème : Agent + Action + Circonstance 1 + Circonstance 2
Les précisions ci-dessus empêcheront la réalisation des séquences du type :
*Jean s'égara longtemps
*La table erra longtemps
*Jean erra la voiture longtemps , etc., agrammaticales et asémantiques.
Le sens grammatical comprend trois types distincts de fonctions sémantiques
(a) le sens des unités (catégories) grammaticales;
(b) le sens des fonctions grammaticales;
(c) le sens des types de phrases.
Le sens des catégories grammaticales est le sens des parties du discours, des outils grammaticaux, des morphèmes tels les suffixes, les préfixes, etc.
Des significations comme ‘objett‘, ‘être‘, ‘état‘ sont généralement rendues par des noms. L' ‘action‘ est exprimée par des verbes, la ‘qualité‘ par des adjectifs, etc.
Les fonctions grammaticales (syntaxiques) renferment des significations comme : 'sujet de ', 'objet de', 'circonstant', 'modifieur', etc., se trouvant dans la structure profonde des phrases laquelle est porteuse de ces relations syntaxiques et donc révélatrice des relations sémantiques qui s'y établissent.
Enfin, le sens des types de phrases se traduit par des significations telles que : <l'assertif>, <l'interrogatif>, <l'impératif>, <le négatif>, <l'emphatique>, etc.
La reconsidération du sens grammatical dans l'analyse linguistique, à côté du sens lexical et indéniablement associé à ce dernier, engendre une vision nouvelle tant au niveau de la linguistique théorique que de la linguistique appliquée et ne reste pas sans écho dans la didactique des langues.
Les célèbres règles de réécriture de Noam Chomsky s'avèrent impuissantes sur le plan sémantique. Voici l'analyse de la 'célèbre' phrase Le chat boit du lait, en termes de réécriture :
P GN + GV GN Pd + N GV MV + GP GP Prép + GN GN Pd + N |
Pd le, le N chat, lait MV boit Prép de |
Cette interprétation ne saurait rendre compte de l'agrammaticalité de la séquence : *Le lait boit le chat.
Il faut qu'il y intervienne d'autres règles de sous-catégorisation et de restrictions sélectives (d'ordre sémantique) pour que de telles séquences soient bloquées
Les tenants des grammaires génératives et transformationnelles se sont évertués à trouver la bonne réponse à ces difficultés d'analyse depuis déjà une quarantaine d'années. Si les résultats ne peuvent être considérés comme définitifs, on est arrivé quand même à trouver des solutions intéressantes à des problèmes épineux de l'analyse linguistique : l'anomalie sémantique, la paraphrase ou synonymie syntaxique, l'ambiguïté ou homonymie syntaxique, les présuppositions, etc. Ce qui mérite d'être retenu pour l'instant, c'est que la signification finale de tout énoncé est obtenue par des démarches successives d'amalgames qui agissent sur les sens lexicaux et grammaticaux de ses constituants. Dans ce mécanisme d'amalgame, c'est aux sens grammaticaux que revient la tache la plus importante.
De tout ce qu'on a dit auparavant, il résulte assez clairement le rôle et l'importance de la grammaire dans toute démarche à visée analytique ou générative. Pourtant, nous allons insister dans ce qui suit sur les implications grammaticales dans l'enseignement du vocabulaire.
Si l'on est tombé d'accord sur le fait que l'essentiel des significations se retrouve dans le lexique, comme unique dépositaire du domaine situé entre le linguistique et l'extralinguistique, il ne faut pas pour autant négliger l'importance des significations grammaticales dans l'émission-réception correcte des messages en français.
Les caractéristiques grammaticales qui se rattachent en principe aux bases lexicales dans la formation des énoncés, et qui établissent des relations entre les éléments composants, peuvent - dans des situations favorables de signification - s'absenter du discours, sans que le message en soit complètement perturbé.
Dans la pratique de la communication, bon nombre d'énoncés agrammaticaux (*Moi vouloir partir) sont repérés et décodés par l'interlocuteur assez facilement. Dans un parler ignorant les mécanismes grammaticaux, la signification peut être suggérée par la simple désignation.
Cette observation a conduit, dans certaines époques de développement de la théorie de l'apprentissage des langues étrangères, à des exacerbations du rôle du lexique dans l'apprentissage, au détriment de la grammaire. Il s'agit de ces périodes préstructuralistes, où le mot était 'maitre' et les élèves étaient soumis à de terribles épreuves de mémorisation mécanique des mots du dictionnaire.
Il y a beaucoup de preuves que le
lexique ne peut et ne doit pas être étudié en dehors de
Par conséquent, ce type de parler ne peut répondre qu'à des besoins d'expression immédiats, vitaux et limite l'horizon intellectuel du locuteur.
De même, la compréhension d'un texte en langue étrangère est considérablement diminuée, le sujet récepteur attachant aux unités lexicales repérées et identifiées par lui des contenus sémantiques issus de sa propre expérience de vie et dénaturant de cette façon la signification globale du message.
L'explication des phénomènes exposés plus haut se trouve justement dans ce double aspect du sens : lexical et grammatical.
Vu les domaines qu'il est à même de couvrir, le sens grammatical devient lui-même un mode de signification, toute différence dans les catégories et les classes grammaticales étant porteuse d'information sémantique.
En voici quelques exemples :
A l'intérieur de la catégorie du genre, l'opposition masculin / féminin peut entrainer des distinctions homonymiques :
Chauffez le/la poêle !
Au niveau du genre indéterminé, l'accord naturel est porteur de la signification de sexe :
Ce mannequin est très belle, ou encore des relations plus subtiles comme dans l'exemple :
Le professeur Martin épousera Jean, où l'ambiguïté de sexe est levée par le genre du complément d'objet Jean.
L'opposition de nombre, singulier / pluriel, engendre parfois des différences de signification :
Jean admirait la beauté de la ville.
Jean admirait les beautés présentes à cette soirée dansante.
Les oppositions temporelles impriment à l'énoncé des significations considérablement modifiées. Comparons :
Je ne crois pas que Jean y vienne.
Je ne crois pas que Jean y soit venu.
De même, si les formes temporelles possèdent des valeurs aspectuelles opposées :
La semaine passée il a été à la campagne.
La semaine passée il était à la campagne
Les variations modales peuvent déterminer, au niveau du même énoncé, des significations bien différentes
J'admets que tu as fait cette erreur.
J'admets que tu fasses cette erreur.
Dans ce sens, certaines oppositions de diathèse sont aussi pertinentes :
Nous doutons que tu aies fait cette erreur.
Nous nous sommes doutés que c'était toi qui as fait cette erreur.
Le choix de l'auxiliaire, dans des conditions déterminées par le régime grammatical ou simplement par le sens, peut orienter le décodage du message
Il est tombé du train.
Il a tombé son adversaire.
Il a demeuré quatre mois dans cette maison.
Il est demeuré bouche bée.
Le régime grammatical de transitivité / intransitivité de certains verbes confère à ceux-ci des significations particulières. A comparer :
Je lui demande et
Je le demande.
Parfois, c'est l'ordre des éléments dans la chaine qui détermine 'la lecture' correcte de l'énoncé :
Ce grand homme /vs/ cet homme grand
Un certain jugement /vs/ un jugement certain, etc.
D'autre part, le discours doit obéir à une norme sémantique, à une compatibilité sémique combinatoire qui assure son isotopie. L'isotopie garantit le caractère correct de l'énoncé du point de vue de sa forme et de son contenu, témoignant du respect des règles sémantiques qui le sous-tendent. La compatibilité sémique donne un caractère de normalité sémique.
Ce sont les restrictions sélectives qui assurent le statut de phrase sémantiquement correcte : « Le rôle des restrictions sélectives est d'indiquer si deux lexèmes qui contractent une relation syntaxique sont ou ne sont pas compatibles du point de vue du sens. Pareilles sur certains points aux classèmes, les restrictions sélectives illustrent le phénomène d'isotopie. La violation de ces traits sémiques contextuels engendre des anomalies sémantiques »
Ce type d'agrammaticalité sémantique s'observe à plusieurs niveaux :
Dans le cadre des anomalies de type référentiel, c'est-à-dire si la séquence renvoie à des référents inconnus ou étranges :
Le gentleman cambrioleur
Des anomalies de type combinatoire, résultant de la violation des classèmes propres aux constituants morphématiques
*Le livre mange de la soupe.
Les anomalies dues à un élément de relation (préposition, conjonction) reliant deux ou plusieurs unités n'appartenant pas au même invariant sémique
*Il était poursuivi d'un policier et de la chance.
Un autre phénomène qui revêt à la fois un aspect syntaxique et un aspect sémantique est connu sous le nom d'ambiguïté sémantique
Sous l'aspect proprement syntaxique, une phrase est dite ambiguë si, par sa réalisation superficielle, elle renvoie à deux ou plusieurs structures profondes : Il croit son fils malade peut s'interpréter soit comme :
Il croit que son fils est malade. soit comme :
Il croit son fils qui est malade, dans le premier cas s'agissant d'une expansion conjonctive du verbe 'croire', dans le second d'une expansion relative du nom 'fils', toutes deux effacées en surface.
En revanche, l'ambiguïté sémantique a sa source dans les mots polysémiques ou homonymiques La phrase : Pierre suit Jean, du fait de son ambiguïté de sens générée par le verbe 'suivre', peut être comprise soit comme :
Pierre va derrière Jean, ou bien comme :
Pierre est le disciple de Jean.
Les deux types d'ambiguïtés peuvent être levés en faisant appel à deux techniques très simples :
(a) insérer la phrase dans un contexte syntagmatique plus large :
Pierre suit Jean dans l'art d'écrire.
(b) en donner une paraphrase :
Pierre est le disciple de Jean dans l'art d'écrire.
A l'opposé de l'ambiguïté au point de vue des sources se situe la paraphrase, phénomène qui relève d'une synonymie syntaxique
La paraphrase pourrait être définie comme « la traduction des énoncés dans la langue où ils sont formulés »
La paraphrase témoigne d'un état de la langue, mais en même temps elle se constitue en technique efficace d'enrichissement du vocabulaire, en méthode d'explication des mots, en possibilité certaine de variation des moyens d'expression.
Par exemple, la phrase : Je sais qui a écrit cette lettre peut être paraphrasée par :
Je sais par qui cette lettre a été écrite
Je sais par qui a été écrite cette lettre
Je sais qui est l'auteur de cette lettre
Je connais l'auteur de cette lettre, etc.
Tous ces exemples et bien d'autres encore témoignent pleinement du fait que le sens total d'un énoncé est donné par le sens lexical de ses constituants et par les sens grammaticaux des catégories et des relations instituées entre ces constituants.
Le mot est donc présent dans tous les compartiments de la langue : en morphologie (l'existence des classes de mots ou parties de discours), en syntaxe (relations spécifiques entre les éléments de ces classes), en sémantique (sens dénotatifs et sens connotatifs des unités lexicales).
Lorsqu'ils fonctionnent dans le discours, les éléments lexicaux se manifestent dans tous les plans, simultanément. Si on laisse de côté l'aspect phonologique du problème, le sujet parlant doit opérer un triple choix : un choix morphologique (marques spécifiques des éléments à valeur fonctionnelle), un choix syntaxique (latitudes combinatoires), un choix sémantique (l'adéquation des termes au contenu de l'énonciation). La violation d'un seul de ces aspects peut conduire à des perturbations dans la communication : énoncés agrammaticaux mais sémantiquement interprétables, énoncés grammaticaux mais sémantiquement anomaux, énoncés agrammaticaux et incorrects au point de vue sémantique
Tout ceci constitue des écarts par rapport à la norme établie, but et idéal : la création des énoncés corrects au point de vue grammatical et adéquats au point de vue sémantique. C'est là l'objectif même de tout enseignement de langues, complété, bien sûr, par une adéquation d'autre nature, situationnelle
Le fait que le sens des unités lexicales est précisé dans le contexte s'illustre par les dictionnaires mêmes qui ne sont pas de simples listes d'entrées lexicales. Un dictionnaire correctement élaboré doit comprendre, outre l'information phonologique proprement dite, l'information morphologique, syntaxique et sémantique des unités composantes. C'est cela même ce qui rend possible la solution des cas d'homonymie et de polysémie, si fréquents en français.
Voici donc qu'on ne saurait parler de l'apprentissage d'une langue qu'en la plaçant sur des principes lexico-grammaticaux et situationnels. La langue fonctionne à l'intersection du paradigmatique et du syntagmatique, Son acquisition ne répond pas seulement à des buts immédiats de communication minimale, mais à des objectifs de perspective qui traduisent la possibilité du sujet parlant de faire sienne une réalité étrangère, de développer un système personnel de valeurs, de pénétrer dans une culture et une civilisation nouvelles.
En s'appropriant les mécanismes grammaticaux, généralement limités comme nombre, le sujet parlant peut créer des énoncés en nombre illimité, en fonction de sa culture et de son érudition.
Ce simple principe d'économie donne la mesure de la créativité linguistique et une certaine liberté de choix dans les limites de l'univers individuel de savoir.
À lire absolument :
Henriette Gezundhajt, Études du lexique, 1998-2004, https://www.linguistes.com/mots/lexique.html
Jacqueline Picoche, Précis de lexicologie française. L'étude et l'enseignement du vocabulaire, Nouvelle édition revue et mise à jour, coll. « Nathan Université », Paris, Éditions Nathan, 1992.
Henriette Walter, Le français dans tous les sens, coll. « La fontaine des sciences », Paris, Éditions Robert Laffont, 1988.
Alise Lehmann, Françoise Martin-Berthet,
Introduction à
Ferdinand de Saussure, Cours de linguistique générale. Paris, Payot, 1972.
Noam Chomsky, Aspects de la théorie syntaxique, Paris, Seuil, 1971.
Voir supra, p. 10
M. Tutescu, Précis de sémantique, p.153.
Cf. supra, 1.3. Paradigmatique / syntagmatique p.
Les ‘co-occurrents‘ sont des suites (continues ou discontinues) de mots qui se côtoient fréquemment dans un même texte (chien - aboyer ; critiquer - vertement) ; les ”collocations‘ sont des co-occurrents consécutifs (les ficelles du métier) ; beaucoup de collocations sont ‘figées‘ et constituent des ‘mots composés‘ (Voir aussi Jean-Claude Roland, L’enseignement du vocabulaire en classe de français langue étrangère, 2005, https://www.edufle.net/L-enseignement-du-vocabulaire
Errer = 'Aller de côté et d'autre, au hasard, à l'aventure' (Le Petit Robert).
M. Tutescu, œuvre citée, p.154.
C. Nique, Initiation méthodique à la grammaire générative, A. Colin, 1978, p.94.
C. Nique, œuvre citée, pp.96-112.
T. Cristea, Grammaire française. Le nom et le groupe nominal. Le verbe et le groupe verbal, Editura Fundatiei 'Romania de Maine', Bucuresti, 2000, p. 210.
Idem, p. 251.
T. Cristea, A.Cunita, Verbul. Le Verbe, Editura Stiintifica si Enciclopedica, Bucuresti, 1975, p. 118.
M. Tutescu, Précis., p.162.
Idem, p.168.
M. Tutescu, Précis., p.162.
J. Lyons, Sémantique linguistique, Larousse, Paris, 1980, pp. 34-46.
M. Tutescu, œuvre citée, p.175
R. Galisson, D. Coste, œuvre citée, p.398.
M.Tutescu, œuvre citée, p.178.
M.Tutescu, op. cit., p.168.
Infra, 1.1. Sens et contexte situationnel, p. .
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