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Segolène Royal
Introduction
Les femmes ne peuvent voter que depuis 1944 et depuis que leur participation à la vie politique s’est accrue, elles sont ministres, parlementaires, élues locales. Une loi sur la parité a donné un nouvel essort à ce phénomène.
Elles deviennent alors électrices (c'est le droit de vote) et éligibles (elles peuvent être élues).
Apres de longs débats avec le Sénat, l’Assemblée Nationale Française adoptait a l’unanimite, le 10 mars 1999, le projet de loi constitutionnelle sur la parité des hommes et des femmes dans les fonctions électives. Voilà que les femmes avaient gagné la derniere egalite qui leur manquait : l’egalite politique.
Est-ce qu’on peut concevoir qu’une femme soit la présidente de la République Française ? C’est la question qu’on a rencontre le plus fréquent dans la presse française il y a quelque semaines/mois.
Maintenant nous avons appris la reponse et on va voir quelles seraient les raisons de la defaite
Chapitre 1 :Qui est Segolène Royal ?
Identité
Née en 1953 à Dakar (Sénégal), Ségolène Royal a grandi dans une famille de militaires, marquée à droite. Mère de quatre enfants, elle met parfois dans le premier plan sa situation familiale, se laissant photographier dans la presse à l'occasion d'un petit-déjeuner en famille ou de la naissance d'un de ses enfants.
C'est à l'ENA qu'elle rencontre son compagnon, François Hollande, actuel premier secrétaire du PS. Leur relation intrigue. Non mariés, les deux dirigeants socialistes ne montrent que très rarement des signes d'intimité ou de complicité en public.
Femme publique, sans jamais s'affirmer comme féministe, la candidate socialiste a dû faire face aux attaques machistes à l'intérieur et à l'extérieur de son parti. Mais c'est aussi sa situation de femme qui lui a permis, bien souvent, de s'afficher comme un symbole du renouveau en politique. Elle est d’abord remarquée par Jacques Attali, consilier politique du president socialiste de l’époque François Mitterand, et devient de 1982 à 1988 conseillère technique au secrétariat général de la présidence de la République, chargée d’abord de la jeunesse et des sports, puis des affaires sociales. C’est là qu’elle adhere au Parti Socialiste. En 1988 elle est « parachutée » par François Mitterand dans les Deux Sèvres, où elle est élue deputée.
Son coup d’eclat
En 2004, à l'occasion des élections régionales, le Parti socialiste et ses alliés remportent 20 régions sur 22. La victoire de Ségolène Royal en Poitou-Charentes avec 55,10 %, contre 36,20 % pour la liste de la droite, est emblématique. Première femme à remporter une présidence de région, elle l'emporte dans la région du premier ministre Jean-Pierre Raffarin.
Le style de sa campagne est comparé à celui de José Luis Rodriguez Zapatero, le premier ministre espagnol. Elle y gagne son surnom, la 'Zapatera', mais surtout sa renommée : sa cote de popularité s'envole. Elle s'appuiera ensuite sur sa présidence de région pour promouvoir sa candidature à la présidentielle.
Son faux pas
1995. Période difficile pour le Parti socialiste. Au lendemain de la débacle électorale aux législatives de 1993, la guerre de succession fait rage en cette fin des années Mitterrand.
Au mois de janvier, Ségolène Royal démissionne de la présidence du conseil national du Parti socialiste. Elle appelle les militants à ne pas participer à la procédure de désignation du candidat pour l'élection présidentielle. Peine perdue : quelques jours plus tard, les militants se rendent aux urnes et désignent Lionel Jospin candidat.
La même année, Ségolène Royal subit un autre revers. Désignée candidate à la mairie de Niort par son parti, elle mène campagne contre le maire socialiste sortant, Bernard Bellec. Elle perd l'élection à l'issue d'une triangulaire au deuxième tour.
Chapitre 2 : Presidentielle 2007
Est-ce que une femme en est capable ?
Si elle est ou non, cela n’importe pas parce que la preuve finale est de la laisser s’exprimer, ayant cette égalité des chances dont tout le monde parle. Contrairement… la question se pose en vain
Désignée candidate par le Parti socialiste en novembre, Ségolène Royal entend incarner la modernité à gauche. Sa campagne est dirigée par un petit groupe de fidèles issus du PS(voir l’annexe ) et de Désirs d'avenir, l'association qui la soutient. Elle s'inspire des propositions du parti mais se dit 'libre' pour défendre ses options politiques.
Durant la première phase de sa campagne, la candidate socialiste multiplie les débats participatifs et évite de prendre des positions tranchées. Ses adversaires lui reprochent de ne pas avoir de programme établi. Après plusieurs mois de débats locaux et sur le site Internet de sa campagne, elle décline, le 11 février, les 100 propositions de son Pacte présidentiel. Un compromis entre la synthèse des débats participatifs et le programme établi par le Parti socialiste.
Elle axe sa campagne contre la 'vie chère', la lutte contre la précarité et 'toutes les formes de violences'. Elle s'oppose au plan Power 8 d'Airbus et propose de faire rentrer les régions françaises au capital d'EADS. 'Non seulement l'Etat doit, mais peut', explique-t-elle le 1er mars à Mont-de-Marsan. Elle se prononce aussi pour la régularisation des sans-papiers dont les enfants sont scolarisés en France.
Points forts
L'arme du 'vote utile'… Ségolène Royal et le PS invoquaient le risque d'un '21 avril bis' et tentaient de mobiliser l'électorat de gauche pour empêcher Jean-Marie Le Pen d'être au second tour. Mais aussi, et surtout, contre Nicolas Sarkozy. Mme Royal axait sa campagne contre le candidat UMP qui incarnait, selon elle, 'la brutalité inefficace'. Elle parvient à fédérer à gauche ceux qui, malgré leurs désaccords avec son programme, estiment que Nicolas Sarkozy est 'instable' ou 'dangereux'.
Les « gaffes »
Ségolène Royal est attaquée par ses adversaires sur les questions de politique étrangère. Ses propos laudatifs sur la rapidité de la justice chinoise ou son faux-pas diplomatique au Liban alimentent les critiques de ses adversaires, qui l'accusent d'incompétence. Et estiment qu'elle n'a pas la 'stature' présidentielle.
'Qui connait Mme Royal ?' Eric Besson, secrétaire national chargé des questions économiques, s'opposait à la candidate sur la question du chiffrage des programmes. Il démissionne de son poste le 14 février, quitte le PS et publie un livre à charge contre la candidate socialiste.
Le 'problème' Bayrou. L'équipe de la candidate socialiste peine à répondre à la montée du candidat UDF dans les sondages. Au PS, Laurent Fabius veut répondre en réactivant le clivage gauche-droite. A une semaine du premier tour, Michel Rocard proposait une alliance avec François Bayrou pour contrer Nicolas Sarkozy. Ségolène Royal affirmait qu'il n'y aura pas de 'tractation' électorale 'dans le dos des électeurs Mais elle a laissé la porte ouverte pour l'entre-deux tours.
Le chiffres
Les français aiment la politique. Même si pas tous sont inscris dans de partis politiques ils font la preuve d’une education civique à envier parce qu-ils se sont presentés aux élections en proportion de 85%
La France est le pays dans l'Union-Européenne à faire le plus de sondages politiques, et où il y as le plus de débats politiques à la télé.
Les médias nous forcent à longueur de journée à considérer la politique comme un débat entre les personnalités les plus mediatisés (d'ailleurs parfaitement adapté à une logique de marketting), et nous oublions avant tout que la politique doit être un débat d'idées.
Alors que la candidate socialiste devait impérativement marquer des points lors du débat télévisé pour conserver des chances de l'emporter au second tour de l'élection présidentielle, dimanche 6 mai, c'est Nicolas Sarkozy qui semble en avoir profité pour creuser l'écart. Tous les sondages réalisés jeudi 3 mai (voir l’annexe ), au lendemain de leur face-à-face, prédisent une nette victoire du candidat de l'UMP. Sauf à envisager une magistrale erreur de tous les instituts, un renversement de tendance paraissait désormais hautement improbable.
Crédité de 53% d'intentions de vote (contre 47% pour Mme Royal) dans un sondage exclusif IFOP M. Sarkozy obtenait le même score dans une enquête de l'institut CSA. Ipsos le situait à 54% (contre 46% à Mme Royal), TNS-Sofres à 54,5% (contre 45,5%). La candidate socialiste ne progressait dans aucune enquête d'opinion. L'IFOP est le seul institut qui la voyait stable.
Conclusion
Pour finir il faut répondre à la question de l’introduction, oui, une femme de nos jours a le droit de s’impliquer dans la vie politique, sans être discriminée, rien n’est impossible mais de toute manière je crois que ce n’est pas le sexe qui qui a détérminé 53,06% des français de choisir Nicolas Sarkozy (le candidat de l’Union pour Mouvement Populaire) comme président de la République. C’est à cause de son parti qui devrait renouver. Ce sont les « élèphants » qui ont détérminé les electeurs de perdre la crédibilité. Parmi ces raisons qui ont favorisé la victoire, on doit remaquer aussi que ce sont les votes de M. Bayrou qui ont fait la diférence.
Introduction
Contenu
Chapitre 1 : Qui est Segolène Royal ?
›Identité
›Son coup d’eclat
› Son faux pas
Chapitre 2 : Presidentielle 2007
› Points forts
› Les « gaffes »
› Le chiffres
Conclusion
Annxes
Bibliographie
Elève : Podaru Dragos Dan
C.N. ‘Al. I. Cuza’
Classe : XII F
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