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Les facteurs essentiels qui influencent la décision

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Les facteurs essentiels qui influencent la décision

Les facteurs primaires de la décision sont: le facteur de prise de la décision ou le décident et l’environnement décisionnel.



Le décident est le manager ou un organisme managérial qui adopte la décision dans la situation concernée.

A présent on assiste a une amplification de la capacité décisionnelle du décident, comme effet de la spécialisation de plus en plus avancée dans le domaine de management. Ainsi, on constate de plus en plus fréquemment la prise des décisions par des manageurs professionnels, qui ne font partie nécessairement de la firme. Il y a mÊmes des firmes de consultance en management, qui apporte un plus d’efficacité dans la solution des problÈmes visées. En mÊme temps, les décisions de groupe tendent à se généraliser (prise de décision par le Conseil d’Administration ou l’Assemblée des Actionnaires) ayant comme avantage la fondation plus rigoureuse et des facilités d’implémentation de la décision.

L’environnement décisionnel est représenté par l’ensemble des éléments endogÈnes et exogÈnes de la firme qui composent la situation décisionnelle.

Au cadre de l’environnement décisionnel on constate une série de transformations en mesure d’offrir des prémisses plus favorables pour un processus décisionnel efficace. Parmi celles-ci, on peut mentionner l’augmentation du niveau de préparation, la reforme économique, l’information des activités, le progrÈs technique rapide.

À la fois, l’environnement décisionnel devient de plus en plus complexe. Les éléments qui y interviennent sont: la réduction de la vie des produits, des technologies et des connaissances, l’augmentation de la division sociale ( au niveau national, ainsi qu’international ), la diminution de l’intervalle entre le moment de la découverte scientifique et son application à l’échelle industrielle, la compétition accrue sur le marché international, l’inflation et l’instabilité monétaire.

Pour la Roumanie, un facteur spécifique est constitué par la transition à l’économie de marché, avec des multiples et profondes implications au niveau des firmes.

Sur le plan décisionnel, ces éléments se traduisent par un nombre plus grand de variables et conditions limite et une multiplication des interdépendances entre celles-ci. Le rythme dans lequel elles apparaissent et se multiplient est particuliÈrement rapide.

Dans le processus décisionnel, les facteurs primaires entrent en interdépendances qui se reflÈtent dans des caractéristiques des situations décisionnelles qu’elles génÈrent. En principe on peut rencontrer trois situations :

Ø      La certitude, oÙ on connait exactement les résultats escomptés, en utilisant la solution préconisée. Les éléments impliqués dans la situation décisionnelle et les variables contrôlables, avec des caractéristiques connues determinent une évolution facile à anticiper.

Ø      L’incertitude, quand la probabilité de réalisation de l’objectif est grande, mais il y a des doutes sur la maniÈre de procéder. Ces situations impliquent un grand nombre de variables qui ne sont pas contrôlables, d’oÙ résulte une anticipation relative de leur évolution.

Ø      Le risque, quand l’objectif à réaliser n’est pas impossible, mais il y a un risque sur les solutions à appliquer.

L’apparition des conditions de risque et d’incertitude et la prise des décisions dans ce contexte sont inévitables. Pour cette raison, les firmes mettent en place des procédures qui leur permettent de compenser de maniÈre parfois artificielle l’imperfection de l’information. Elles arrivent à délimiter, de ce fait, dans leurs environnement immédiat, une zone de stabilité qui sert de cadre pour la prise des décisions. Cette démarche ne fait disparaitre de façon objective l’incertitude, mais permet de créer une zone considérée comme stable dans un environnement qui reste fluctuant. Plusieurs méthodes sont utilisées à cet effet :

Les méthodes de rétroaction

Une procédure fréquemment utilisée consiste à remplacer l’information inconnue sur l’avenir par des informations connues sur le passe. On procÈde, alors, à des prises de décisions à court terme (ajustements), sur la base des évolutions récemment constatées. Ce comportement n’est pas mécanique, dans le sens qu’il laisse une large part à l’appréciation de l’évolution constatée. Il s’agit en fait bien souvent d’effectuer une correction permanente des anticipations sur la base des réalisations.

Cette procédure est aussi utilisée actuellement selon des modalités complexes, pour virer les informations sur les marchés financiÈres. Les méthodes chartistes, qui s’appuient sur l’ussage de l’informatique, permettent d’étaler une typologie graphique de l’évolution des cours. Elles conduisent a des décisions fondées sous la forme de courbes retraçant les évolutions constatées.

Les procédures   de négociation

Une seconde modalité de réduction de l’incertitude consiste à négocier avec l’environnement externe ou avec les groupes internes à l’entreprise. Un avantage de cette méthode est de fixer les comportements des acteurs, et de réduire ainsi la parte d’arbitraire qu’ils peuvent avoir .

La forme la plus courante de cette procédure est la conclusion des contrats à long terme, avec des fournisseurs ou des clients, qui permet de réduire l’incertitude relative aux fluctuations des prix. Il est rare dans l’environnement instable que ces contrats garantissent des prix fixes. Mais ils peuvent spécifier les modalités de révision des prix, ce qui constitue un élément réducteur de l’incertitude. Les contrats personnalisés avec les fournisseurs et les clients permettent de limiter l’amplitude de variation des prix.

Des procédures analogues existent aussi a l’intérieur des entreprises. Elles sont intéressées de fixer pour une période déterminée les demandes des différentes coalitions. La procédure de négociation budgétaire est un exemple de cette pratique. Chaque département de l’entreprise fixe, au début de l’année, ses objectifs et les moyennes qu’ils estiment nécessaires. Lorsque aprÈs négociation et arbitrage de la direction générale, le budget des départements est arrÊté, il engage ces derniers pour la durée de l’exercice. Sauf accident exceptionnel, ils ne peuvent pas demander des moyennes supplémentaires sans justifications précises.

Il est possible ainsi de créer une zone de stabilité à l’intérieur de l’entreprise et dans son environnement.

Les procédures standard

Un autre moyenne de réduire l’incertitude sur le comportement des concurrents est l’application des procédures standard. Il s’agit de rÈgles adoptées par la majorité ou la totalité des entreprises d’une branche: taux de marge identique, par exemple, ou méthodes analogues de calcul du prix de revient. Ces procédures standard permettent de compenser l’absence des informations sur l’environnement.

Le transfÈrt du risque

Une derniÈre possibilité s’offre enfin aux entreprises: le transfert des risques des prix à d’autres en intervenant sur les marchés financiers, plus particuliÈrement sur les marchés des contrats à terme. Ces contrats portent sur des produits aussi divers que les marchandises, les taux d’intérÊt et les devises.

Les entreprises ont la possibilité de ce couvrir sur ces marchés en fixant d’une maniÈre définitive les prix d’une transaction qui aura lieu dans plusieurs mois. Les marchés d’options négociables sur ces contrats sont encore plus performants en la matiÈre, puisqu’ils permettent de se protéger à la fois du risque de prix et de celui que la transaction prévue n’ait pas lieu.

Pour les entreprises et les firmes roumaines, l’extension des décisions en conditions d’incertitude et de risque (évidemment, un risque calculé réduit au minimum) est un problÈme de grande actualité.

La conclusion est que les facteurs primaires de la décision présentent des évolutions complexes et accélérées, qui génÈrent une multitude de situations décisionnelles avec des formes spécifiques au cadre de chaque entreprise et régie autonome. En effet, il est nécessaire de connaitre et d’étudier les facteurs décisionnels spécifiques à chaque situation décisionnelle.



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