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OBJECTIFS
TOURISTIQUES DE
LA TOUR EIFFEL
Le symbole de
Haute de 320 mètres, avec un poids de sept mille tonnes, elle est divisée en trois étages : la première plate-forme se trouve à 57m, la seconde à 115m et la troisième à 274m. A chaque étage, bars et restaurants offrent aux touristes la possibilité de se reposer et de pouvoir jouir d’une vue et d’un paysage uniques.
Sous La Tour Eiffel s’étend le Champ de Mars, ancien champ de manoeuvres militaires, transformé actuellement en jardin.
NOTRE-DAME
Erigée sur le lieu où une basilique chrétienne avait déjà pris la place d’un temple de l’époque romaine préexistant, elle a résulté de la décision de l’évêque Maurice de Sully qui, en 1163, a fait commencer sa construction. L’église a été terminée en 1345.
Durant la Révolution française, en 1793, elle a été menacée d’être démolie.
Elle a été restaurée entre 1844 et 1864 par Viollet-le-Duc , mais a couru le risque d’être détruite par un incendie en 1871.
Imposante et majestueuse, la façade de Notre-Dame se présente divisée verticalement en trois parties par les piliers et disposée horizontalement sur trois plans, celui du rez-de-chaussée s’ouvrant par trois portails en profondeur. Le portail central représente le Jugement dernier ; celui de droite est le portail de Sainte-Anne et celui de gauche, le portail de la Vierge.
A peine entrés dans la cathédrale, nous sommes frapés par ses proportions : elle a 130 mètres de long, 50 de large et 35 de haut et peut contenir facilement 9000 personnes.
Les visiteurs peuvent admirer aussi son trésor ; parmi les reliques les plus importantes se trouvent un fragment de la Vraie Croix, la Couronne d’épines et le Clou Sacré.
LE SACRÉ-COEUR
Majestueuse sur la colline de Montmartre, la basilique a été érigée en 1876 par souscription nationale et consacrée en 1919. Ses architectes ont décidé de la construire dans ce style curieux qui est un mélange de roman et de byzantin. En fait, les quatre petites coupoles et la grande sont typiquement orientales.
En arrière, un campanile carré de 84mètres de haut renferme la fameuse « Savoyarde », une des plus grosses cloches du monde avec ses 19 tonnes.
Sur la façade de l’église on peut admirer les statues de Saint Louis et de Jeanne d’Arc. Si nous désirons admirer l’église d’un point de vue encore plus suggestif, il suffit de descendre jusqu’à la Place Saint Pierre, en bas, soit par le funiculaire soit par les escaliers.
LE LOUVRE
Histoire du palais : Les origines du Louvre remontent à 1200, l’époque à laquelle Philippe-Auguste a fait construire, près de la Seine, une forteresse destinée à la défense.
Alors qu’elle n’était pas encore demeure royale, la forteresse abritait entre ses murs le trésor royal et les archives. C’est au XIVe siècle que Charles V l’a choisi comme propre demeure. Après son règne, le Louvre n’a pas logé aucun roi jusqu’en 1546, date à laquelle François Ier a fait abattre la vieille forteresse et, sur ses fondations, a entrepris la construction de l’aile sud-ouest de l’actuelle Cour-Carrée du Louvre. Les travaux ont été continués sous Henri II, Henri IV, Louis XIII, Louis XIV. Lorsque la cour s’est transférée à Versailles, en 1682, les travaux ont été abandonnés et le palais se retrouvait dans un tel état de ruine qu’en 1750 on pensait même à le détruire. Les travaux ont été repris par Napoléon Ier et conntinués par Napoléon III. Après l’incendie de Tuileries, survenu pendant le siège de la Commune, en mai 1871, le Louvre a pris son aspect actuel.
Les collections : Le mérite de la fondation de cette importante collection est attribué à François Ier ; grace à ce souverain nait une réelle collection d’oeuvres en tous genres, destinée à enrichir la résidence royale de Fontainebleau. Il réussit à profiter du talent de l’artiste le plus célèbre de l’époque, Léonard de Vinci et à s’assurer de la propriété de certaines de ses oeuvres, telles la Joconde et la Vierge aux Rochers.
A la même époque, d’autres peintres italiens enrichissent cette collection : Titien, Raphaël, Andrea del Sarto, etc.
Une autre impulsion a été donnée aux collections pendant le règne de Louis XIII ; bien que celui-ci a été plutôt indifférent à l’art, son ministre, le cardinal de Richelieu a été un vrai mécène. Marie de Médicis, mère du roi, a contribué aussi à l’agrandissement de la collection en commandant à Rubens un certain nombre de tableaux pour sa résidence de Luxembourg. Avec Louis XIV, l’on constate un acroissement notable de la collection. Le Roi Soleil fait l’acquisition d’une partie de la collection du cardinal Mazarin et de celle du roi Charles Ier d’Angleterre, mise en vente par Cromwell. Sous son successeur Louis XV, on peut constater l’acquisition de nombreuses oeuvres d’auteurs contemporains. Sous Louis XVI, de nombreuses oeuvres d’auteurs italiens du XVIIe siècle sont acquises.A cette époque apparaissent les révendications du droit à la jouissance publique des collections royales.
C’est en 1749 qu’a eu lieu pour la première fois au Palais du Luxemboug une exposition d’une petite sélection d’oeuvres. En 1765, Diderot avait demandé, dans l’Encyclopédie, que le Louvre soit utilisé pour l’exposition des oeuvres du Cabinet Royal. En 1792, le gouvernement révolutionnaire a décidé de transférer au Louvre les collections royales, désormais propriété de la Nation. En 1793, le Musée Central des Arts ouvre ses portes en présentant une sélection de 587 oeuvres.
Sous Napoléon, le musée s’agrandit et se transforme: le Département des antiquités grecques et romaines est fondé, les collections archéologiques progressent. L’expédition de Napoléon en Egypte a été d’une merveilleuse opportunité pour cette section. L’empéreur instaure aussi un système d’appropriation qui prélevait des oeuvres d’art dans les pays vaincus et les envoyait au Louvre (à l’époque dénommé Musée Napoléon). Provenant de Belgique, de Hollande, d’Allemagne, d’Autriche, d’Italie, une énorme quantité d’oeuvres a pris la route vers la France, mais vers la fin de 1815, environ 5000 de ces oeuvres ont été restituées à leurs légitimes propriétaires.
Avec Napoléon III, d’importants enrichissements s’efectuent, ayant à la base les acquisitions.
A partir de ce moment, cette politique d’achat se développe continuellement, réalisant un agrandissement constant des collections. Il ne faut pas oublier aussi les nombreux mécènes qui donnent au musée leurs collections.
Le Grand Louvre : Depuis son installation au Louvre en 1793, le musée a dû subir les contraintes d’un palais qui n’a jamais été conçu pour lui. Les collections manquent d’espace pour se déployer et être présentées à un large public de façon cohérente.
En décidant, en 1981, de consacrer aux collections la totalité du palais par le transfert du Ministère des Finances à Bercy, François Mitterand a lancé un vaste programme de restructuration du musée.
L’architecte américain d’origine chinoise, Ieoh Ming Pei, a été choisi pour aménager la cour Napoléon, destinée à devenir le centre d’accueil du musée. Dans cet objectif, il a conçu en1983 un vaste hall d’entrée souterrain placé au centre de la cour, sous une pyramide transparente en verre. Haute de 21m, cette pyramide est entourée de sept bassins et fontaines, et flanquée de trois autres petites pyramides qui éclairent les galeries d’accès aux trois ailes du musée (Richelieu – Sully – Denon) où seront redistribuées les collections.
Le musée est actuellement restructuré en 7 départements : Antiquités orientales et arts de l’Islam, Antiquités égyptiennes, Antiquités grecques, étrusques et romaines, Objets d’art, Sculptures, Arts graphiques, Peintures.
Dans le département des Antiquités égyptiennes on peut admirer Le Scribe assis ou la statue d’Akhénaton. La Venus de Milo (prototype de la beauté féminine grecque) et la Victoire de Samothrace font partie des chefs-d’oeuvre des Antiquités grecques, étrusques et romaines. Le département des Peintures comprend des tableaux comme : La Pietà d’Avignon, Le Sacre de Napoléeon Ier (réalisé par David), La Liberté conduisant le peuple (d’Eugène Delacroix) (peinture française), La Joconde (de Léonard de Vinci) ou La Belle Jardinière (de Raphaël) (peinture italienne). Des sculptures comme Les Esclaves (de Michel-Ange) ou Psyché ranimée par le baiser de l’Amour (de Canova) sont très souvent admirées par les visiteurs du monde entier.
LE MUSÉE D’ORSAY
La gare d’Orsay a été construite sur l’emplacement de l’ancienne Cour des Comptes, incendiée lors de la Commune en 1871. Désaffectée en 1939, puis menacée de démolition, la gare est finalement inscrite à l’Inventaire des Monuments Historiques en 1973 et un projet nait sous la présidence de G. Pompidou - d’y aménager un musée.
Le Musée d’Orsay expose des oeuvres de la seconde moitié du XIXe siècle, de 1848 à 1905 environ.
Les collections du musée comprennent des tableaux célèbres, comme : l’Olympia (de Manet), La Gare Saint-Lazare et La Cathédrale de Rouen (de Monet), La classe de danse (de Degas), ou Le Bal du Moulin de la Galette (de Renoir).
Les terrasses sont en majeure partie consacrées aux sculptures d’Auguste Rodin ou Camille Claudel. D’autres peintres dont on peut admirer les tableaux sont : Toulouse-Lautrec, Délacroix, Ingres, Corot, Sisley, Cézanne, Gauguin, Matisse, etc.
LE CENTRE POMPIDOU (BEAUBOURG)
En 1969, le président de la République, Georges Pompidou, a décidé de donner vie à un important centre culturel dans la zone appelée « plateau Beaubourg ».
L’édifice occupe une superficie de 100.000m². L’ossature en acier, les escalators, les couloirs, les ascenseurs se trouvent à l’extérieur de l’édifice pour laisser le plus grand espace possible à l’intérieur, qui comprend : une galerie d’art contemporain, une bibliothèque publique et le Musée national d’art moderne.
Dans le musée, tous les courants artistiques qui ont marqué le XXe siècle sont illustrés par des oeuvres d’artistes comme : Matisse, Picasso, Braque, Miro, Dali, Magritte, etc.
Tout près du Centre G. Pompidou se trouve reconstitué l’atelier du sculpteur d’origine roumaine – Constantin Brancusi.
LA CONCIERGERIE
Cet édifice date de la fin du XIIIe siècle au commencement du XIVe. Il a été, à partir du XVIe siècle, la première prison de Paris ; ensuite, pendant la Révolution, il a logé dans ses cachots des citoyens qui y vivaient leurs dernières heures avant de monter à la guillotine.
Aujourd’hui, la Conciergerie occupe une aile du Palais de Justice. Au rez-de-chaussée se trouvent la Salle des Gardes et la Salle des Gens d’Armes.
On peut visiter aussi la cellule de Marie –Antoinette, transformée en chapelle en 1816 par l’unique fille survivante de Louis XVI, la duchesse d’Angoulême.
L’HÔTEL DE VILLE
Situé au centre d’une place qui, pendant plus de cinq siècles, a été le lieu des executions capitales, l’Hôtel de Ville est actuellement le siège de la municipalité de la ville.
Sa façade est richement décorée avec des statues d’hommes illustres et des allégories de villes de province.
LE PALAIS DU LUXEMBOURG
A la mort d’Henri IV, Marie de Médicis, qui n’était pas habituée à l’atmosphère du Louvre, a préféré habiter un endroit qui lui rappelait Florence, où elle était née.
En 1612, elle a acquis l’Hôtel du duc de Luxembourg et a fait construire un palais ressemblant aux palais florentins.
Lorsque la Révolution a éclaté, le palais a été transformé en prison d’état. Puis, Napoléon en a fait le siège du Senat.
Le Jardin du Luxembourg est un vaste jardin public. Dans les bosquets disséminés sur la vaste étendue se trouvent des fontaines, des statues représentant les reines de France, des terrains de jeu.
LE PANTHÉON
L’église, née comme église de sainte-Geneviève, a été construite en 1758 et a été terminée en 1789.
La Révolution en a fait le Temple de la Gloire, destiné à abriter la dépouille mortelle des grandes hommes. Ses proportions sont exceptionnelles : 110m de long et 83 de haut. Sur le fronton on peut lire l’inscription « Aux grands hommes, la Patrie reconnaissante ».
L’interieur est décoré de fresques dont les plus connues sont celles de Puvis de Chavannes avec les scènes de la vie de Sainte Geneviève.
La crypte qui se trouve sous l’église rassemble des tombeaux d’hommes illustres, comme : Victor Hugo, Emile Zola, Voltaire, Mirabeau, etc.
LES INVALIDES
Ce vaste ensemble d’édifices comprend l’Hôtel des Invalides, le Dôme et l’Eglise Saint Louis des Invalides.
Louis XIV avait décidé de construire l’Hôtel pour donner asile aux vieux soldats invalides.
Considéré comme un des chefs-d’oeuvre de l’architecte Hardouin-Mansart, le Dôme des Invalides a été construit entre 1679 et 1706. Sous sa coupole s’ouvre la crypte contenant le tombeau de Napoléon.
L’OPÉRA GARNIER
Le plus vaste théatre lyrique du monde, l’Opéra est l’édifice le plus intéressant du temps de Napoléon III. Il peut contenir facilement plus de 2000 spectateurs et 450 acteurs ou figurants sur la scène.
L’intérieur est aussi fastueux que la façade : le grand escalier est en marbre blanc et la salle a le plafond peint par Chagall en 1966.
L’ARC DE TRIOMPHE
En haut des Champs-Elysées, au sommet de la colline de Chaillot, se trouve la place de l’Etoile – Charles de Gaule, d’où partent douze artères. Isolé au milieu de la place s’élève l’Arc de Triomphe, entrepris suivant le desir de Napoléon qui voulait le dédier à la Grande Armée.
Terminé en 1836, il a 50 mètres de haut et 45 de large. Les faces sont ornées des bas-reliefs dont le plus connu représente le Départ des Volontaires en 1792, connu sous le nom de « la Marseillaise ».
Sous l’Arc est placée depuis 1920 la tombe du Soldat inconnu ; une histoire du monument se trouve dans un petit musée à l’intérieur de l’Arc.
LA VILLETTE
Marché au bétail à partir de 1867, le parc de la Villette, s’étendant sur 35 ha, a été aménagé en 1979 pour accueillir le plus vaste musée des sciences et des techniques jamais réalisé.
On peut y admirer également la Géode (vaste salle de projection hémisphérique), la Grande Halle et une salle de spectacles, le Zenith.
LA DÉFENSE
La Défense, conçue comme une gigantesque zone de 130 hectares vouée aux affaires, a été commencée en 1955.
Les immeubles sont construits au dessus d’une immense dalle réservée aux piétons, sous laquelle passent toutes les voies de communication. Parmi les imposants édifices modernes aux formes géométriques pures (Tours Fiat, Manhattan, Gan,etc.) un des plus intéressants est le Palais du C.N.I.T., ayant la forme d’une coquille renversée, et qui sert de cadre à de grandes manifestations commerciales.
Innaugurée en 1989, la Grande Arche de la Defense est aussi une construction imposante. Au centre de la structure revêtue en marbre de Carrare et en verre est suspendu un grand vélum appelé le « Nuage ».
LA PLACE DES VOSGES
Au centre de cette place s’élève la statue en marbre de Louis XIII à cheval, copie de celle détruite pendant la Révolution.
Elle se trouve à l’endroit où s’élevait l’Hôtel des Tournelles, où Henri II a trouvé la mort en 1559 au cours d’un tournoi. C’est Henri IV qui a décidé de sa création en 1607 et elle a été terminée en 1612.
Au centre du côté sud se trouve le Pavillon du Roi, le plus riche, réservé à Henri IV, tandis qu’en face se trouve celui réservé à la Reine. Au numéro 6 se situe le musée Victor Hugo, qui est en fait la maison que le grand poète a habitée de 1832 à 1848.
LA PLACE DE LA BASTILLE
A l’ouest de l’actuelle place se trouvait la massive forteresse construite en 1370 par Charles V et terminée en 1382. Elle est devenue prison d’Etat et on y a vu enfermé le mystérieux personnage passé à l’histoire sous le nom de Masque de fer et le non moins célèbre marquis de Sade.
La forteresse est devenue ainsi le premier objectif de l’insurrection populaire qui a éclaté le 14 juillet 1789. Le lendemain, a commencé la destruction de la forteresse qui s’est terminée un an après.
Au centre de la place se dresse la Colonne de Juillet, élevée entre 1831 et 1840 en souvenir des Parisiens tués au cours des journées de juillet 1830.
LA PLACE VENDÔME
Chef-d’oeuvre de Jules Hardouin-Mansart, cette place a été créée entre 1687 et 1720 pour encadrer la statue équestre de Louis XIV, détruite pendant la Révolution.
D’importants édifices se trouvent là actuellement : le fameux Hôtel Ritz au numéro 1, ou la maison où est mort Chopin en 1849.
Au centre de la place s’élève aujourd’hui une Colonne érigée en l’honneur de Napoléon Ier.
LA PLACE DE LA CONCORDE
Aménagée entre 1757 et 1759, elle était dédiée à l’origine à Louis XV, dont une statue équestre s’élevait au centre de la place ; cette statue a été abattue pendant la Révolution. On y a dréssé alors la guillotine sous le couperet de laquelle sont tombées les têtes du roi Louis XVI , de la reine Marie-Antoinette, de Robespierre, etc.
Elle est devenue Place de la Concorde en 1795 et a pris son aspect définitif actuel entre 1836 et 1840.
Aujourd’hui se dresse au centre de la place l’obélisque égyptien provenant de Louqsor, offert en 1831 à Louis-Philippe par Méhément-Ali. Il a 23 mètres de haut et les hiéroglyphes dont il est orné illustrent les glorieuses entreprises du Pharaon Ramses II.
LE PONT NEUF
En contradiction avec son nom , ce pont est le plus vieux pont de Paris, ayant été commencé sous Henri III et terminé sous Henri IV en 1606.
Au début du XVIe siècle, il a vu la naissance du théatre comique français, puisqu’ici on donnait des représentations théatrales.
LE PONT ALEXANDRE III
C’est le pont le plus élégant de Paris qui relie l’Esplanade des Invalides aux Champs-Elysées. Construit entre 1896 et 1900, il porte le nom du tsar Alexandre III, dont le fils Nicolas II avait inauguré le pont.
Ce pont a été effectivement construit pour célébrer l’alliance franco-russe.
Guirlandes de fleurs, réverbères surmontés de petits amours, allégories de génies marins, forment la décoration qui enrichit le pont. Sur ses pylônes sont représentées la France médiévale et la France moderne, la France de la Renaissance et celle du temps de Louis XIV.
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